CAPTER PUIS RETRANSCRIRE SONT DEUX DES PRINCIPES FONDAMENTAUX QUI SOUS TENDENT LA RECHERCHE.

L’EMPREINTE EST UN OUTIL PAR LEQUEL L’HUMANITÉ A ORIGINELLEMENT FIGURÉ SON UNIVERS, MARQUÉ SON TERRITOIRE, CE FÛT ET C’EST AUSSI UN MOYEN D’OBSERVATION ET DE COMPREHENSION, UNE SOURCE INTARRISSABLE D’INFORMATIONS ET DE TÉMOIGNAGES.

 

 L’EMPREINTE PERMET D’APPRÉHENDER CE QUI N’EST PAS VISIBLE AU REGARD. LE TRAITEMENT GRAPHIQUE DEVIENT RÉVÉLATEUR POUR UNE CARTOGRAPHIE DES INVISIBILITÉS. LES VITALITÉS SE FONT JOUR COMME DANS UN RIZHOME INFINI OÙ TOUT EST LIÉ.

 

ICI SE MET EN PLACE UNE SORTE D’ARCHÉOLOGIE DU TERRITOIRE, DES MICROS TERRITOIRES SONT SOUMIS A UNE ANALYSE ACTIVE, MÉTICULEUSE ET SENSIBLE POUR ÊTRE FINALEMENT RETRANSCRIS

 

DE CETTE TRANSPOSITION NAÎT LA DISJONCTION QUI EXISTE ENTRE CE QUI EST DONNÉ A VOIR, LA RESTITUTION, ET LE PRINCIPE DE PRÉLEVEMENT EN AMONT, À L’INSTAR DE LA CARTOGRAPHIE OÙ LA CARTE RESTE INÉLUCTABLEMENT UN ALLER ET RETOUR PERMANENT ENTRE RÉALITÉ ET IMAGINAIRE, CET INVENTAIRE DU TERRITOIRE OUVRE AUX PARÉIDOLIES.